Même pas besoin de vérifier cela en fait, si le swap a trop de données pour la RAM l'opération va échouer au moment où le transfert n'est plus possible. Les swap resteront évidemment actifs et disponibles.
Après l'intérêt de l'opération en elle même est discutable. S'il y a assez de RAM et que le noyau a besoin de ce qu'il y a en swap, il va le récupérer en RAM et le garder. Ce qui reste en swap éternellement alors qu'il y a de la place en RAM sont en réalité des pages mémoires qui ne sont pas utilisées ou bien trop peu.
Du coup l'opération n'apporte pas grand chose, cela ne permet pas d'augmenter les performances et le noyau Linux gère très bien la situation. Il vaut mieux jouer avec la variable _swapiness_ pour éviter que le noyau ne swap trop tôt éventuellement. Mais à part ça, autant laisser faire.
'lut, ça m'a l'air d'un super truc !!
mais comment fait-on pour "On vérifie que ce qu'il y a dans le SWAP n'est pas plus important que la RAM libre." ? Je testerais, mais la question tient toujours… merci.
Pour le coup, j'ai quasiment fait l'inverse. Depuis plus de 20 ans je n'ai plus de TV, et je me tiens peu au courant des actualités en dehors de conversations au boulot.
Il y a un an, lors de mon déménagement, j'ai franchi le pas par l'intermédiaire de mon abonnement internet et d'un écran 22": à moi les séries et autres joyeusetés du petit écran.....
Après la période de découverte, le boitier et l'écran sont éteints tellement souvent que chaque démarrage s'accompagne d'une mise à jour.
Bilan de l'affaire: un retour à la non norme télévisuelle et au contrôle systématique des impôts quand à la possession de tv.
J’avoue, quand mes parents sont en voyage (et me forcent pas à regarder tous les JT des heures de repas de France 2 et 3, dont l’intérêt est franchement discutable face à celui du soir d’Arte), je n’utiliserais notre télé que pour regarder Nolife (disponible aussi sur Molotov, d’ailleurs ; et là, c’est tout sauf une chaîne qui met des « émissions entre deux pubs », même s’il faut être versé dans la culture geek, manga, anime, musique japonaise et indé européenne, même si ça aborde aussi le retrogaming et les jeux de plateau et de rôle), pour les quelques séries qu’on aime bien (actuellement : NCIS, et les inénarrables rediffusions d’Hercule Poirot, Columbo, Inspecteur Barnaby et autres Doctor Who…), et comme moniteur sur lequel je branche ma PS4 et ma clef Chromecast (ce qui me permet de profiter de ses 81 cm pour regarder mes animes de Crunchyroll et Wakanim, et voir tes vidéos ou celles de Fred Bezies, car c’est quand même mieux que sur le 15,6" de mon PC portable !).
La preuve : dans le passé, quand je ne pouvais pas recevoir Nolife et que je n’avais donc ni console de jeu, ni clef Chromecast, quand j’étais à la maison et que j’avais pas de cours, je laissais la télé éteinte. J’ai eu beau être un fan des jeux comme Motus ou Questions pour un champion, je ne les regarde plus depuis longtemps.
Mais oui : l’arrivée des systèmes de télé de rattrapage fait qu’on n’a plus vraiment besoin de suivre la diffusion en direct, puisque dans la plupart des cas, on peut regarder ce qu’on souhaite plus tard. Et oui, je suis un grand utilisateur de youtube-dl (mais je me contente de taper « youtube-dl [URL] » pour les vidéos de Pluzz : c’est largement suffisant sans préciser de paramètres), essentiellement pour conserver des documentaires que je compte voir ultérieurement. Je sais, c’est pas bien ! Mais vu que c’est uniquement pour mon usage perso et que je n’utilise jamais de logiciels de P2P, disons que ça peut entrer dans le cadre de la copie privée.
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